Et le making of :
15 juillet 2008
House of Cards Video
Et le making of :
Publié par JDM à 13:08
Libellés : House of Cards, Musique, Radiohead, Video
8 juillet 2008
Radiohead Arras, Mainsquare Festival 06 juillet 2008
Thom était en voix, le groupe était en place, la set list était alléchante. Cymbal Rush extraite de l'album solo de Yorke en premier rappel quasi inattendu purement fantastique.
Et les jeux de lumière, tout bonnement éblouissant.
Seigneur Dieu, que je suis original aujourd'hui. Le batteur battait, le chanteur chantait, le guitariste guitarait etc... ce blog ne ressemble plus à rien ces jours-ci...
Comme le dit si bien mon amie B. Parler de musique, c'est comme danser à propos d'architecture.
15 steps
Airbag
There there
All i need
Where I End And You Begin
A wolf at the door
Nude
Pyramid song
Weird fishes
Climbing up the walls
The gloaming
Faust Arp (Jonny et thom solo : 2 faux départs)
No surprises
Jigsaw falling into place
Reckoner
Exit music
Bodysnatchers
1er rappel :
Cymbal rush
Videotape
Paranoïd android
Dollars and cents
Idioteque
Second rappel :
House of cards
The national anthem
Street spirit
Nude :
Bodysnatchers :
5 juin 2008
31 mai 2008
30 mai 2008
17 mai 2008
15 mai 2008
12 mai 2008
Journée internationale de lutte contre le Syndrome de Fatigue Chronique (SFC) et l'Encéphalomiélite Myalgique (EM)
Permettez-moi donc de préciser ici une chose importante. Il ne faut pas confondre grosse fatigue passagère ou à répétition avec le SFC. En effet, les personnes souffrant du SFC sont la plupart du temps tout bonnement épuisées. Les principaux symptômes étant fatigue excessive, douleurs, hypersensibilité à toute situation stressante, irritabilité intestinale, etc. Et de longues périodes de repos n'améliorent guère leur état.
Souvent confondus avec les symptômes dépressifs, les symptômes du SFC sont pourtant différents. Lorsque vous êtes déprimé ou dépressif et que vous ne voulez rien faire parce que vous vous sentez fatigué, faire quelque chose vous aidera à vous sentir mieux. Bien au contraire, dans le cas du SFC, les personnes atteintes veulent véritablement vivre une vie normale mais cette vie "normale", active, se paye au prix d'une fatigue qui leur rend les choses bien plus difficiles encore.
Faites comme moi, soutenez-les, portez un ruban bleu, ou renseignez-vous sur ces maladies.
For B.
11 mai 2008
All I Need
Publié par JDM à 23:06
Libellés : All I Need, Radiohead, Video
8 mai 2008
3 mai 2008
Drawing Radiohead
Publié par JDM à 12:50
Libellés : Drawing Radiohead, Radiohead, Stanley Donwood, Video
24 avril 2008
House of Cards Live & Green
Publié par JDM à 23:40
Libellés : Concert, House of Cards, Radiohead, Video
11 avril 2008
Bowie au meilleur de sa forme
Regardez David Bowie dans Extras, la série de Rick Gervais :
Publié par JDM à 21:20
Libellés : David Bowie, Extras, Musique, Rick Gervais, Video
Bangers & Mash Video
Publié par JDM à 20:54
Libellés : Bangers and Mash, Musique, Radiohead, Video
Best of Radiohead
Après avoir commercialisée une intégrale totalement inutile puisque dépourvue d'inédits, EMI remet donc le couvert avec un Best Of mis au point sans rien demander au groupe et tout aussi inutile puisque grosso modo composé d'ne suite de single. Même le visuel est un Best Of, avec la (karma)police de caractère de Kid A, et les petits bonshommes de Ok Computer.
Rien de nouveau sous le soleil donc en dehors d'un track listing non chronologique qui ne devrait pas faire se relever les fans la nuit pour aller acheter ceci (2 minutes sous iTunes et j'ai créé la playlist). A moins d'être complétiste dans l'âme.
Sortie le 2 juin.
Indice Chacalométrique : 95
Regardez Idioteque live à Nulle Part Ailleurs :
5 avril 2008
Café De La Danse, Festival Les Femmes s'en Mêlent, Shannon Wright, 4 mai 2002
Côté cour, la batterie, côté jardin, un petit orgure électrique où on espère qu'elle jouera Hinterland (ce qu'elle fera) et Method Of Sleeping (ce qu'elle ne fera pas).
Et puis le noir se fait, et la voici qui revient sous des applaudissements qui laissent deviner qu'on est quelques-uns à être venus rien que pour elle. Ni présentation ni avertissement, les âmes sensibles qui pensaient s'endormir au son soporifique de la très très ennuyeuse chanteuse de Cat Power, sorte de Phoebe en pire (Friends, vous connaissez ?) en seront pour leurs frais. *
Toute en fureur carnassière, Shannon Wright et son jeu de guitare exceptionnel (fermez les yeux et demandez vous où est caché le bassiste) emporte tout sur son passage, les oreilles et les coeurs. A côté d'elle, Ani Di Franco, et PJ Harvey, soyons charitables, ne parlons pas de Björk, font figure de biens inoffensives collégiennes. La veste tombe après deux titres fougueux lorsqu'elle se dirige vers l'orgue.
On croit la brûlure éteinte, on se trompe. Shannon enchaîne d'abord deux morceaux au goût amer et on se dit qu'on est bien loin de la chanteuse de Rich Hum Of Air, surtout quand Heavy Crown s'achève brusquement par un coup de tête on ne peut plus volontaire dans le micro. Arrive Hinterland, morceau de bravoure vocal soutenu par une batterie sans faille, métronomique autant qu'apocalyptique. Mais rien pourtant n'arrive à couvrir cette voix revenue du diable vauvert, des enfers jopliniens, Frehel du rock, Piaf à la sauce Sonic Youth.
Shannon de retour à la guitare criant sa rage devant un batteur déchaîné et un public médusé ne cesse de nous envouter. Plus endiablée que jamais, elle s'agenouille, hendrixienne à souhait, délivrant riffs déchirants et poses masturbatoires... Elle hurle, prouvant du même coup qu'elle n'a pas besoin de micro pour se faire entendre. Puis sa bouche dévoratrice se ferme lentement pour un dernier passage à l'orgue pour une version de Vessel For A Minor Malady "There's no cure, so why should I care ?" sensible et dérangeante.
Elle se lève, on n'entend pas son timide thank you sous les aplaudissements et les cris. On la rappelle, on en redemande, alors la revoici, ultime démonstration, douce vocalise où il est question d'aller au lit et de sombrer dans un profond sommeil. Un petit salut, deux timides sourires et la voilà qui disparaît pour de bon.
Les lumières se rallument et D.J. Muriel Moreno enchaîne sur la version de '97 Bonnie and Clyde d'Eminem par Tori Amos dont le seul mérite à ce moment est de rester dans le ton. Noir, très noir.
* Note aux fans de Cat Power. Ayant depuis écouté sa musique, je compatis sincèrement à votre douleur à la lecture de ces lignes. Elles représentent pourtant ce que j'ai ressenti à l'époque. Désolé.
Publié par JDM à 20:51
Libellés : Cat Power, Concert, Hard Rock, Shannon Wright
Radiohead à la BBC
Set List :
Intro
Bodysnatchers
All I Need
Nude
Airbag
Reckoner
The Tourist
House Of Cards
Weird Fishes
Lucky
Everything In Its Right Place
Outro
1 avril 2008
29 mars 2008
24 mars 2008
Breaking News : Macca au chevet de Neil Aspinall
Derek Taylor, l'un de leurs agents, en 1997.
Linda McCartney, 1998 d'un cancer du sein à 56 ans.
George Harrison, cancer du poumon lui aussi, en 2001 à 58 ans (il avait fêté ses 21 ans pendant l'enregistrement de A Hard Day's Night!).
Maureen Starkey, première femme de Ringo à 47 ans d'une leucémie en 1994.
Neil Aspinall s'est occupé des affaires du groupe pendant toute leur carrière jusqu'à il y a 11 mois. Celui qui aurait du devenir un simple comptable a contribué à l'édification de l'empire Beatles.
Ah, et entre autre titre de gloire, il a fait les choeur sur Yellow Submarine (comme la moitié de Londres à l'époque apparemment) et donné un demi frère à Pete Best...
Allez Neil, on est tous avec toi.
Publié par JDM à 04:00
Libellés : Breaking News, Neil Aspinall, Paul McCartney, The Beatles
23 mars 2008
The Man Who Sold The World (500 Great Songs #30)
Artiste : David Bowie
Date de sortie : 4 novembre 1970
Durée : 4'00''
Label : Mercury Records
Mais n'oublions pas qu'en 1993, Bowie est en pleine période de mue. (Une de plus). Il ne tardera pas avec Outside, album arty (parfois génial, parfois un peu too much), à revenir aux manettes d'une production musicale partie à vau l'eau depuis 10 bonnes années. A l'occasion de la sortie du deuxième single Strangers When We Meet en novembre 1995, une face b de choc sera incorporée, une version live crépusculaire de The Man Who Sold The World telle qu'elle était reprise en tournée à cette époque, avec riff décharné qui n'arrive qu'en lambeaux à la fin du titre. Cette version rare était également disponible sur des disques bonus Australiens et Japonais. Depuis, elle a disparu de la circulation.
Dites : Trente huit ans et pas une ride.
Ne dites pas : Ce vieux Bowie ne sait plus qui piller ! La preuve, il pique des plans à Nirvana maintenant.
Cependant, Bowie a donné une version assez similaire de cette face b exceptionnelle à Taratata (tout arrive) que je vous invite à découvrir : (Ca ne se voit pas là, mais je me tâte pour vous offrir illégalement ce titre anthologique en mp3...)
Version Live at the Beeb de 2000 :
Version unplugged de Nirvana :
Publié par JDM à 08:56
Libellés : 1970, 500 Great Songs, David Bowie, Musique, Nirvana, Rock, Video
Heathen
Date de sortie: 11 juin 2002
Label : Iso / Columbia
Durée : 51'36''
Puisque Raphaël, non content de recruter Gail Ann Dorsey a également recruté Tony Visconti pour son nouvel "album" (oui, vous avez bien lu, la nausée n'est pas dûe uniquement à l'abus de chocolat de Pâques), je m'en vais vous parler d'un album autrement plus excitant pondu comme un oeuf en chocolat par la poule aux oeufs d'or des années 70... j'ai nommé David Bowie.
Est-il encore possible de trouver excitant un album de Bowie passé 1981 et Scary Monters... and Super Creeps ? La réponse est oui. A condition de savoir chercher. A partir de 1983 et Let's Dance la carrière artistique de Bowie décroit rapidement au rythme hallucinant ou croit celui des disques d'or qui s'empilent un peu partout dans les demeures du Thin White Duke. Certes, la reprise de China Girl d'Iggy Pop n'est pas trop mal, certes Let's Dance, le titre phare de Bowie dans les année quatre-vingt n'est pas le plus mauvais de tout ce qu'il a pu produire (vous souvenez vous de l'atroce bande originale du film Labyrinthe ?), mais tout de même. Bowie lui même admettra dans une interview aux Inrockuptibles en 1993 qu'il n'avait pas été vraiment à la hauteur depuis une dizaine d'années. Au moins savait-il être lucide.
C'est ainsi que Bowie reprendra, à la surprise quasi générale, le chemin des studios pour refaire de la musique. Oublions Black Tie White Noise sauf peut-être pour le titre Jump They Say implicitement dédié à Terry, le frère schizophrène qui se défenestrera. Passons sur les délires arty (mais parfois très intéressant de Outside qui comptait déjà quatre ou cinq très bonnes chansons et avait le mérite de ne pas faire de concessions top-cinquantesques (à l'exception peut-être d'un Hallo Spaceboy remixé par les Pet Shop Boys.
C'est à cette époque que Bowie redevient intéressant en live avec notamment une version sous hallu de The Man Who Sold The World que seuls les heureux possesseurs du single Strangers When We Meet auront le plaisir d'entendre (Ce titre n'est toujours pas disponible y compris dans les rééditions double cd récentes d'Outside). Amusons-nous du côté industriel (heureusement bien meilleur que sur les albums de Tin Machine) et Reznorien d'Earthling, album pêchu avec un côté beaucoup plus fun tout de même que les gros sabots de NIN. Enfin, Hours, petit album douceatre, ne s'écoute pas sans déplaisir malgré le coté guimauve de certains titres (Seven au hasard).
Non, le tournant du retour de Bowie, c'est Heathen, (Païen en anglais). D'abord parce que Tony Visconti est de retour aux manettes (on n'avait plus vu ça depuis Aladin Sane, rendez-vous compte.
Ensuite, parce que les chansons sont là. Et que les plus anecdotiques (A Better Future, Everyone Says Hi') ne plombent pas le reste, ne serait-ce que parce qu'elles rappellent d'autres choses, The Cure, par exemple pour la première. En effet, les compositions de Bowie sont ce qu'il a fait de mieux depuis longtemps. Sunday qui ouvre le disque donne d'entrée un ton noir à l'album dont il ne se départira pas malgré quelques moment plus joyeux. Slip Away enregistré à quelques kilomètres de New York juste après le 11 septembre évoque quant à elle le traumatisme non seulement de tout un chacun, mais surtout des New Yorkais (dont Bowie fait partie) au lendemain des attentats. I Would Be Your Slave et ses arrangements de cordes est tout simplement somptueuse, libérant une énergie à la fois rock et électronique sur une rythmique rapide et des vocaux lents. Une prouesse dont on ne pensait plus Bowie capable.
Et puis cet album recèle trois reprises (Cactus des Pixies, I've Been Waiting For You de Neil Young, et I Took A Trip On A Gemini Spaceship des Legendary Stardust Cowboy) dont les deux premières ne sont pas piquées des hannetons. La reprise de Neil Young pouvant d'ailleurs prétendre au titre de deuxième meilleure chanson de l'album ce qui n'est pas rien.
Enfin, le disque se clôt sur la meilleure chanson. Heathen (The Rays) qui donne son titre à l'album. Et voici la conclusion d'un album de Bowie telle qu'on en avait pas vue depuis Hunky Dory et The Bewlay Brothers. Bowie y fait montre de son talent de parolier, qui, quoi qu'on en dise, n'a pas toujours été son point fort. Il conclura d'ailleurs une majorité des spectacles de ses futures tournées par ce titre, se laissant guider vers la coulisse comme un aveugle, une main posée sur l'épaule de Gail Ann Dorsey, sa bassiste, marchant au pas pour l'occasion.
Rappelons-nous que l'album sera défendu en tournée en ajoutant beaucoup de titres de Low et Ziggy Stardust en rappel. (Ah ce concert de l'Olympia...)
On déplorera que Reality, son opus suivant (et dernier à ce jour) soit un peu plus foutraque mais on se réjouira des deux concerts de Bercy (surtout du premier), moments quasi magiques.
Regardez Heathen (The Rays) à l'Olympia le 1er juillet 2002 :
Publié par JDM à 08:31
Libellés : 11 septembre, 2002, David Bowie, Establishment, Gail Ann Dorsey, Heathen, Musique, Raphael, Rock, Tony Visconti, Video
17 mars 2008
On n'arrête pas le progrès...
Non, pas l'un des nombreux ex de madame S !!! Raphael, le minet à minette qui assurait d'ailleurs la mièvre première partie du dernier Olympia de Bowie le premier juillet 2002... Déjà à l'époque, il ne m'avait pas convaincu. Mais bon, on lui pardonnait, parce qu'on voulait voir Bowie et parce qu'on avait de la peine pour ce gamin avec une toute petite guitare, une toute petite voix, et un talent ben, assez tout petit, malgré tout.
Bref... visiblement, il en a profité pour lui demander son CV... à elle, et à d'autres... Enfin bon... moi ce que j'en dis... c'est vrai qu'entre deux tournées de Bowie, il doit bien falloir faire bouillir la marmite...
Publié par JDM à 20:35
Libellés : David Bowie, Gail Ann Dorsey, Olympia, Raphael
16 mars 2008
Breaking News : Lou Reed on tour
March
18 - Brooklyn, N.Y. @ St. Ann's Warehouse
April
20 - Northampton, Mass. @ Calvin Theater
25 - Norfolk, Va. @ The NorVA
26 - Richmond, Va. @ The National
28 - Durham, N.C. @ Carolina Theatre
29 - Asheville, N.C. @ Orange Peel
30 - Knoxville, Tenn. @ Tennessee Theatre
June
23 - Cork, Ireland @ Cork Marquee
24 - Belfast, Northern Ireland @ Belfast Waterfront
25 - Edinburgh, Scotland @ Edinburgh Playhouse
26 - Nottingham, England @ Royal Centre
29 - Paris, France @ Salle Pleyel
30 - London, England @ Royal Albert Hall
July
3 - Munich, Germany @ Munich Philharmonie
4 - Hamburg, Germany @ CCH Congress Centrum
7 - Copenhagen, Denmark @ Copenhagen Opera House
9 - Stockholm, Sweden @ Annexet
11 - Tallinn, Estonia @ Saku Suurhall
12 - Riga, Latvia @ Arena Riga
14 - Warsaw, Poland @ Sala Kongresowa
16 - Brussels, Belgium @ Bozar
19 - Lisbon, Portugal @ Campo Pequeno
20 - Loule, Portugal @ Monumento Duarte Pacheco
21 - Malaga, Spain @ Terral
22 - Madrid, Spain @ Mardid Conde Duque
25 - Girona, Spain @ Portaferrada Festival
26 - Benidorm, Spain @ The Bullring
Publié par JDM à 21:04
Libellés : Breaking News, Lou Reed
15 mars 2008
The Radiohead Watcher...
Nude sera le second single extrait de l'album In Rainbows. Il sera disponible en 3 formats. Téléchargement légal, cd, et vinyl 7". 4 Minute Warning sera la face b du 7" tandis que la fantastique Down is the New Up sera celle du cd. On aurait bien aimé quelques inédits tout de même...
Sinon, le sondage sur la droite est toujours en cours, si vous n'avez pas encore voté, je vous y invite.
Publié par JDM à 18:12
Libellés : Breaking News, Radiohead
10 mars 2008
Breaking News : Les Beatles bientôt sur iTunes
Indice chacalométrique (compte tenu du fait que payer 0,99 euros pour un morceux compressé déjà vendu en vinyle, musicassette, cd, cd pseudo remasterisé etc etc...) : 97.
Regardez Money (That's What I Want) :
Publié par JDM à 23:13
Libellés : Apple, Breaking News, Chacalomètre, iTunes, Money, Paul McCartney, The Beatles, Video
8 mars 2008
Breaking News : RIP Norman Smith
Celui que Lennon avait surnommé Normal Norman avait notamment déclaré que ce qui l'avait le plus séduit lorsqu'il avait vu les Beatles pour la première fois n'était pas leur son mais leur sens de l'humour et leur attitude qui les rendait différents.
Rip Normal Norman.
Regardez Hello Goodbye :
Publié par JDM à 14:00
Libellés : Breaking News, EMI, John Lennon, Normal Norman, Norman Smith, Pink Floyd, The Beatles, Video
29 février 2008
Down is the New Up (500 Great Songs #29)
Artiste : Radiohead
Durée: 4'59''
Label : Auto-édité par le groupe
Date de sortie : 3 décembre 2007
Down is the New Up est l'une de ces chansons. Crépusculaire à souhait, elle est portée par la voix d'un Thom Yorke en plein état de grâce. Des accords de piano simples en font une petite soeur de Pyramid Song, autre grande chanson venue du fond de la nuit. Mais ne vous inquiétez pas, demain est un autre jour.
Dites : Le bout du rouleau est le nouveau haut du panier.
Ne dites pas : Been down so long it looks like up to me... (Quoique)
Regardez Down is the New Up dans une version solo impeccable :
Publié par JDM à 18:47
Libellés : 2007, 500 Great Songs, Down is the New Up, Radiohead, Thom Yorke, Video
24 février 2008
Déprimer dans son lit le dimanche en chansons...
Dans cet ordre ou dans le désordre... de toute façon qu'est ce que ça change...
Radiohead : We Suck Young Blood
Jacques Brel : Ne Me Quitte Pas
PJ Harvey : The Piano
Leo Ferre : Avec le Temps
Vincent Gallo : The Way it is Watlz
György Ligeti : Lux Aeterna
Serge Gainsbourg : Manon
Angelo Badalamenti : Mulholland Drive
Alain Bashung : Je Me Dore
Tindersticks : Another Night In
Arno : Dans Mon Lit
Mi and L'Au : How
Georges Delerue : Camille
Portishead : Humming
Joy Division : Passover
Publié par JDM à 15:40
Libellés : Compils de FFYE
22 février 2008
Wish You Were Here (500 Great Songs # 28)
Artiste : Pink Floyd
Date de sortie : 15 septembre 1975
Durée : 5'40''
Label : Harvest / EMI
Ne dites pas : ...
Regardez Wish You Were Here :
Publié par JDM à 22:21
Libellés : 1975, 500 Great Songs, Pink Floyd, Video, Wish You Were Here
20 février 2008
19th Nervous Breakdown
Pour Miloose...
The Rolling Stones, 1966
Publié par JDM à 21:35
Libellés : 1966, 19th Nervous Breakdown, The Rolling Stones, Video
Nous avons toujours habité le château
Désormais, toute chronique de livre "exigeant" ou tout du moins traitant d'une "œuvre" non éligible au chacalomètre y sera publiée.
Publié par JDM à 19:24
Libellés : Chacalomètre, Fric Frac Club, Littérature, Livre, Nous avons toujours habité le château, Shirley Jackson
16 février 2008
Le Fric Frac Club sur orbite...
Publié par JDM à 22:43
Libellés : FFC, Littérature
Fric Frac Club, me voilà !!!
Amis flanneurs, renifleurs de livres, book worms, rats de bibliothèques,
Amis amoureux des lettres (des vraies belles), de l'imprimé, du papier encré,
Amis du sens et du fond,
Amis de la forme en forme me voici.
If you want (even a small) revolution, you can count me in. Si toutefois vous voulez de moi.
Je me contenterai donc de signer FFC en rouge au bas de ce post en attendant d'apporter un petit texte (ou même un long, après tout j'ai déjà tout un roman qui remplit son comptant d'imagination quasi pure et parfois délurée).
Ami Freak (i sorta like it betta that way) Fraker, bien le bonsoir...
Publié par JDM à 00:30
Libellés : FFC, Fric Frac Club, Littérature
Rainydayz
Date de sortie : 13 février 2008
Durée : 25'51''
Label : Aucun, à ce qu'il semble.
It's not up to you, it's free, voici ce que vous lirez en haut à gauche sur la page de téléchargement de cet album de remix. Amplive, DJ new yorkais a décidé de nous offrir gratuitement sept remixes plus une intro du dernier Radiohead. Le tout dans les tons rap et hip-hop, il fallait oser. Certes, il y a eu un petit moment de flottement légal, lorsque quelqu'un s'est aperçu que personne n'avait demandé d'autorisation au groupe d'Oxford.
Mais Radiohead étant Radiohead, la situation s'est arrangée et Amplive a obtenu le droit de diffuser gratuitement via la web ses remix rainbowsiens en se faisant au passage un joli coup de pub.
Alors qu'en est-il exactement ? Disons le tout net, il y a à boire et à manger. Dans le très bon, citons Weird Fishez (qui commence par un sample détourné de la fin de la chanson et s'amuse avec la voix de Thom, Faustz, et Video Tapez où Thom sonne presque japonais à un moment. Le reste est assez dispensable, on regrettera le rattage total de 15 Stepz après un début halletant qui promettait le meilleur avant de sombrer dans une soupe Craig Davidienne atroce.
Téléchargez Rainydayz ICI.
14 février 2008
13 février 2008
The Road (La Route)
I carry The Road with me. No son on my side. No daughter either. No cart. No tarp. No ash and no motorcycle rearview mirrors.
I carry The Road with me. In the aisles of the supermaket where cans of food are neatly waiting to be taken from the shelves, paid for, and brought home.
I carry The Road with me. In the afternoon light, outside, where the sun shines. In the cities where people come and go and don't pay attention to you.
I carry The Road with me. Everywhere I go. At work, on the train, in the streets and on the roads where you see cars, bikes, motorcycles, buses and trucks.
I carry The Road with me. In this world where danger takes many forms, where evil is everywhere in disguise, where cannibals are just slightly different (better dressed and fed maybe), but greed exactly the same.
I carry The Road with me. Because, sometimes, I envy the dead too.
I carry The Road with me. Right here. In my breast pocket, as close as possible to my heart. The paperback fits right in. No spare space. Like a talisman, for darker times to come. Like a Bible from a time where there will be no God, but where the last men will be his prophets.
I carry The Road with me and in me. You should too.
The Road (La Route) par Cormac McCarthy
10 février 2008
Peel Slowly And See
Artiste : The Velvet Underground
Label : Polydor
Durée totale : 332'52''
Ce coffret hautement recommandable comprend non seulement l'intégrale des quatre albums studio du groupe : The Velvet Underground and Nico, White Light / White Heat, The Velvet Underground, Loaded, mais aussi un CD supplémentaire qui reprend des démos parfois éblouissantes de titres comme Venus in Furs, All Tomorrows Parties ou encore Heroin.
Chaque album est, bien entendu, accompagné d'un certain nombre de bonus de type out-takes, version single ou alternatives, inédits.
Le premier CD justifie à lui seul l'achat de la chose. En une fraction de seconde, on se retrouve dans un appartement miteux de New York, avec trois ou quatre pauvres bougres qui essayent d'enregistrer sur deux ou quatre pistes (allez donc savoir, peut-être même une seule) les maquettes de ce qui deviendra l'un des albums les plus importants de l'histoire du rock. Les versions de Venus in Furs ou de All Tomorrows Parties (chanson préférée d'Andy Warhol), sonnent tout bonnement comme des fabliaux chantés par quelques troubadours à la voix mâle (Cale et non pas Reed ici pour la version de Venus), pendant east coast d'un Tim Buckley.
Et puis, il y a Nico la femme fatale au timbre allemand qui ferait frissonner les plus insensibles.
Le reste est plus connu. On ne citera que quelques perles, Venus in Furs, All Tomorrows Parties, Sunday Morning, Femme Fatale, I'll Be Your Mirror, I'm Waiting For the Man, Heroin, Chelsea Girls, White Light / White Heat, The Gift, Sister Ray, Pale Blue Eyes, The Murder Mystery, Oh! Sweet Nuthin', Satellite Of Love, Sweet Jane etc etc.
On se rappelera une anecdote ou deux (présentes ou non dans le très bon livret qui accompagne le tout, je ne sais plus), par exemple que Maureen Tucker avait été engagée parce qu'elle avait une voiture, que le nom du groupe vient d'un livre SM intitulé The Velvet Underground trouvé dans un caniveau, que Venus in Furs s'inspire grandement de ce thème, ou encore que les membres du groupe jouaient parfois en tournant le dos au public (pendant qu'on projetait sur eux toutes sorte d'images).
On écrira enfin un mot sur la pochette culte du premier album designée par Warhol himself. Si on pêle lentement la banane, on voit sa chair rose et suggestive apparaître en dessous. La pochette est reproduite à l'identique sur le coffret (tout comme sur la version Deluxe du premier album).
Bref, un must, à écouter sans fin...
Venus in Furs :
Publié par JDM à 18:01
Libellés : 1995, Andy Warhol, John Cale, Lou Reed, Maureen Tucker, Nico, Peel Slowly And See, Sterling Morrison, Velvet Underground
7 février 2008
Not So Small Talk
Un court métrage amusant trouvé sur le web.
Publié par JDM à 21:41
Libellés : Not So Small Talk, Video
6 février 2008
Breaking News : RIP Maharishi Mahesh Yogi, gourou des Beatles
Les fab four l'avaient rejoint en Inde en 1968 pour s'initier à la méditation transcendantale.
Beaucoup moins peace and love que ce que les Beatles pensaient, ils rentrèrent assez dépités de ce voyage. RIP anyway.
Publié par JDM à 21:24
Libellés : Breaking News, Maharishi Mahesh Yogi, The Beatles, Video
We can be heroes...
Publié par JDM à 01:54
Libellés : Javier Bardem, No Country for Old Men, We Can Be Heroes
3 février 2008
Radiohead live @ Jools Holland 200th episode!
Voici les vidéos :
Bodysnatchers
Weird Fishes / Arpeggi
15 Step
House of Cards
Publié par JDM à 22:24
Libellés : Jools Holland, Musique, Radiohead, Video
2 février 2008
The Village People on Food for Your Ears...
Publié par JDM à 16:11
Libellés : Blog, English, The Village People
Anyone Else But You (500 Great Songs #27)
Artistes : The Moldy Peaches
Label : Sanctuary Records / Rough Trades
Date de sortie : 7 mai 2001 (UK) et le 11 septembre 2001 (USA)
Durée : 2'59'' (version album) 1'57'' (version Juno)
Bref, Anyone Else But You est l'archétype de la chanson simple comme bonjour qui vous donnera envie d'apprendre à jouer de la guitare. Deux accords, des paroles toutes mimis et bien senties (We sure are cute for two ugly people). La chanson à chanter à son amoureuse (B, this post is for you, and this was written in red for obvious reasons) pour la St Valentin en changeant l'un des derniers vers : "My Name is (Your Name Here), I'm you biggest fan."
Les pêches blettes ou Moldy Peaches se composent de Kimya Dawson (jamais entendu parler jusque-là) et d'un certain... Adam Green (et là, ça me dit nettement plus quelque chose.
Anyone Else But You apparaît donc sur la BO du nouveau film de Jason Reitman (déjà responsable de l'excellent Thank You For Smoking), dans sa version originale et reprise par les acteurs du film (Ellen Page & Michael Cera). La BO comprend d'autres merveilleuses petites choses, du Velvet Underground, de Sonic Youth, de Kinks, de Belle & Sebastian et All The Young Dudes de Mott the Hoople.
Juno sort le 6 février, le film vaut le détour (Allison Janney fait partie de la distribution, et qui n'aime pas Allison Janney .
Dites : You're a part time lover and a full time friend.
Ne dites pas : What did I do with the monkey that was on my back?
Regardez la bande annonce :
Regardez Michael Cera and Ellen Page reprendre le titre (en plus court et les couplets dans le désordre) :
Publié par JDM à 14:34
Libellés : 11 septembre, 2001, 500 Great Songs, Adam Green, Allison Janney, Anyone Else But You, Folk, Kimya Dawson, Musique, The Moldy Peaches, Video
29 janvier 2008
What's up Doc?
En attendant, voici deux compiles réalisées expressement pour m'excuser d'un coup de coude bien involontaire porté dans la machoire d'une jeunette de ma connaissance née en 1988. De là à penser que mes pépins de santé sont dûs au grand âge, il n'y a qu'un pas.
Une compile pour se réveiller :
Jigsaw Falling Into Place Radiohead
Sunburn Muse
Lemon U2
Foxy Lady Jimi Hendrix
Eternal Life Jeff Buckley
The Man Who Sold The World David Bowie (Version live introuvable - face B du single Strangers When We Meet- de la tournée Outside)
Ava Adore Smashing Pumpkins
A Perfect Day Elise PJ Harvey
Formed A Band Art Brut
Fuck Forever Baby Shambles
Datura Tori Amos
Fell In Love With A Girl The White Stripes
Souljacker, Part I Eels
Psycho Killer Talking Heads
Pagan Angel And A Borrowed Car Iron & Wine
Kashmir Jimmy Page & Robert Plant Unledded
Une compile pour s'endormir
She Cries Your Name Beth Orton
The Piano PJ Harvey
Breathe Me Sia
Wild Horses - Faultline avec Joseph Arthur Joseph Arthur (With Faultline)
Go Slowly Radiohead
What a Wonderful World Louis Armstrong
Knockin' On Heaven's Door Antony & The Johnsons
Anyone Else But You The Moldy Peaches
Between The Bars Elliott Smith
Gazebo Tree Kristin Hersh
Walk On The Wild Side Lou Reed
Isolation John Lennon
Pink Moon Nick Drake
Ballade De Melody Nelson Serge Gainsbourg
Stairway To Heaven Led Zeppelin
The Weight Of My Words Kings Of Convenience
All Things Must Pass George Harrison
I Dream A Highway Gillian Welch
A bientôt en meilleure forme, ou pour écrire mes dernières volontés, allez savoir...
26 janvier 2008
Eric Arthur Blair on the web...
Big Google/Facebook/Myspace is watching you! (L'avantage c'est qu'ils ne sont pas encore moustachus).
L'autre chose amusante avec ce site qui reprend gratuitement en ligne la grosse majorité des écrits d'Orwell, c'est qu'il est... Russe et que vous y trouverez non seulement les oeuvres dans leurs versions originales, mais également traduites dans la langue de Put... Tosloï... mais aussi parfois en Byelorusse, Estonien et Serbe.
Le lien vers la librairie Orwell est ICI.
СВОБОДА — ЭТО РАБСТВО
НЕЗНАНИЕ — СИЛА
War is Peace
Freedom is Slavery
Ignorance is Strengh
La guerre c'est la paix
La liberté c'est l'esclavage
L'ignorance c'est la force
We are the Dead and 2+2=5
PS pour les amis pynchomaniaques qui se pressent sur ces pages une fois de temps en temps, l'introduction de l'édition Penguin de 1984 se trouve (à l'exception du premier paragraphe purement biographique) ICI.
Publié par JDM à 13:15
Libellés : 1984, 2+2=5, Eric Arthur Blair, George Orwell, Littérature, Livre, Thomas Pynchon
25 janvier 2008
23 janvier 2008
No Country for Old Men
Date de sortie France : 23 janvier 2008
Musique : Carter Burwell
Durée : 122'
No Country for Old Men est un film lent, sec et aride, comme ses personnages. Du coup la question : "Peut-on s'en sortir quand on s'empare par hasard d'un million et demi de dollars alors qu'un tueur psychopathe et virtuellement indestructible est à vos trousses ?" en devient oiseuse. Le film, sous couvert d'une cavale pour l'argent est une peinture concrete d'un temps et d'un lieu, et de psychologies qui s'affrontent.
You can't stop what's coming dit l'affiche. Quoi de plus vrai. Javier Bardem, nominé à l'Oscar, en tueur que rien n'arrête délivre une performance qui restera dans les mémoires. Car il s'aventure où le cinéma va rarement. Son personnage Anton Chigurth, tueur impitoyable, n'est pas l'un de ces psychopates extrêmement intelligents qui, malgré leur folie, (Hannibal Lecter en est le paradigme) laissent entrevoir une étincelle de génie dans leur regard.
Ce tueur là, au contraire, est un homme limité (au sens ou il n'est pas un grand génie du mal), glacial et supersticieux, avec une réthorique à la fois huilée et grippée. Car ce n'est pas quand il tue qu'il fait peur. Il n'est jamais plus effrayant qu'avec quelques mots prononcés de sa voix grave et un quarter dans la main. Au contraire, l'absence totale de compassion dont il fait preuve (la fin justifie toujours les moyens) le rend bizarrement attachant, alors qu'il assassine à tour de bras. A le contempler, nous en devenons nous même insensibles. Plus morts que ses victimes et que lui-même.
No Country for Old Men, vous brûlera, comme le soleil du Texas, sans rédemption en vue, sans les habituels tromblons mielleux d'Hollywood. Courrez-y.
Bande Annonce :
Publié par JDM à 23:58
Libellés : Cinéma, Cormac McCarthy, Ethan Coen, Javier Bardem, Joel Coen, Mercredi Cinéma, No Country for Old Men, Tommy Lee Jones, Video
21 janvier 2008
Revelator (500 Great Songs #26)
Artiste : Gillian Welch & David Rawlings
Label : Acony
Date de sortie : 31 juillet 2001
Durée : 6'23''
Et si vous l'aimez et vous reconnaissez parmi les profils ci-dessus (plusieurs réponses possibles), alors tout n'est pas perdu, (et je vous présente toutes mes excuses de vous avoir si mal jugé sans vous connaître, sauf peut-être les mangeurs d'enfants, les guantanamistes, les bricehortefiens, Satan et Big Brother, là, il faut pas pousser). Il y aurait alors peut-être un peu de bon en vous, alors marchez vers la lumière, marchez et faîtes amende honorable, et un don à une bonne oeuvre tant que vous y êtes.
Dites : Who could know if I'm a traitor?
Ne dites pas : Qu'est ce qu'ils sont moches ces canapés.
Regardez et écoutez Time (The Revelator) :
Publié par JDM à 07:30
Libellés : 2001, 500 Great Songs, David Rawlings, Gillian Welch, Revelator, Time The Revelator, Video
19 janvier 2008
18 janvier 2008
J'ai décapité Dora et je trouve ça drôle...
Trouvez le mois où vous êtes né :
Janvier : J’ai baisé avec
Février : J'ai décapité
Mars : J'ai tué
Avril : J'ai chatouillé
Mai : J'ai giflé
Juin : J'ai volé
Juillet : J'ai suçé
Août : Je me suis marié avec
Septembre : J'ai mordu
Octobre : Je me suis habillé comme
Novembre : J'ai enflammé
Décembre : J'ai couché avec
Ensuite, Trouvez le jour de votre anniversaire :
1 : Moi-même
2 : Un canard en plastique
3 : Un singe
4 : Mon meilleur ami
5 : Un éléphant
6 : Un caniche
7 : Un poilu
8 : Une chaise
9 : Un chat
10 : Une souris
11 : Une truie
12 : Un gorille
13 : Pikachu
14 : Mon chef de service
15 : Casimir
16 : M. Pokora
17 : Britney Spears
18 : Une courge
19 : Une banane
20 : OUI-OUI
21 : Dora
22 : Bob l’éponge
23 : Une baleine
24 : Un concombre
25 : Une carotte
26 : Un bisounours
27 : Mon pied
28 : Mon nez
29 : Mr Bean
30 : Un homme
31 : Une femme
Et enfin, la première lettre de votre prénom :
A : Pour un gros cornichon
B : Car je te déteste
C : Pour sauver le futur
D : Et un rhinocéros m'a foncé dessus
E : Parce que j’aime ça
F : Et je me trouve magnifique
G : Pour être une côte de porc
H : Et j’en suis fier(e)
I : Pour la popularité
J : Et je trouve ça drôle
K : Pour maman
L : Et je me suis fais frapper par un télétubbies
M : Pour être un héros
N : Car j'aime les ringards
O : Car j'aime la vie
P : Pour l'argent
Q : Et ça sent pas super bon
R : Car je suis une grosse larve
S : Pour mon/ma copain/copine
T : Car je n'aime pas ça
U : Car je suis cinglé(e)
V : Et je me suis fait taper par un nain
W : Car je n'ai pas d'ami
X : Et je sens une odeur bizarre venant de tes pieds
Y : Et ça me soûle
Z : Pour une patate
Et vous ?
Note à mes fidèles lecteurs et lectrices : Désolé... Tatatata ta ta !